L’enfant perdue (Storia della bambina perduta, 2014) est le quatrième et dernier tome de la saga napolitaine initiée avec L’Amie prodigieuse (2011), suivie par Le Nouveau Nom (2012) et Celle qui fuit et celle qui reste (2013)

Eduard Kasparides (1858–1926) est un peintre autrichien d'origine morave. Il naît à Krönau (Moravie) et s’installe à Vienne après ses études. Initialement orienté vers des scènes de genre et des sujets religieux, il se distingue surtout, à partir de la fin du XIXᵉ siècle, par ses paysages impressionnistes d’inspiration romantique et sensorielle.

Sous le ciel apaisé, des nuages roses s’effilochent comme des flammes tendres. Les collines se succèdent en vagues silencieuses, drapées de verts changeants.

René Auguste Seyssaud (1867–1952) est un peintre français originaire de Marseille. Il est considéré comme l’un des précurseurs du fauvisme en Provence et un artiste qui a su imposer une intensité colorée singulière dans ses toiles.

La montagne se dresse, flamme minérale, offerte au ciel comme une prière ancienne. Le lac, vaste miroir, recueille ses reflets, teintés de rouge, d’azur et d’or fugace.

Sous un ciel en tumulte, les nuages se mêlent en volutes roses, bleues et grises, comme une mer céleste en perpétuel changement.

Paul Théophile Robert (1879‑1954), peintre suisse dont la carrière s’est inscrite dans la première moitié du XXᵉ siècle.

Marcus Jacobi (1891-1969) était un peintre, dessinateur et graveur suisse, originaire de Bienne et élève de Heinrich Knirr à Munich.

Un chemin s’élance droit vers l’horizon, mince trait ocre au milieu d’une mer verte.

La peinture s’élève comme un hymne à la verticalité, un souffle de grandeur pris dans l’éclat glacé de la montagne.

Un champ s’étend comme une mer de blé figée dans le temps. À l’horizon, une barrière d’azur profond se dresse, telle une montagne veillant sur la plaine.

Sous un ciel de braises et de songes, deux palmiers dressent leurs couronnes émeraude comme des gardiens de la mémoire.

Eugène Louis Martin est né à Genève en 1880 et y est décédé en 1954. Issu d’un milieu bourgeois — son père était agent de change et sa mère dirigeait une maison de haute couture — il débuta lui-même comme agent de change avant de reprendre la direction de l’entreprise familiale en 1912. Parallèlement, il pratiqua la peinture en amateur tout au long de sa vie

Deux palmiers dressent leurs couronnes d’émeraude comme des gardiens d’un paradis en feu.

Le soleil embrase la ville d’un or incandescent. Les gratte-ciels se dressent comme des ombres noires, découpées dans la braise du couchant.