Sous la lumière indécise, un visage s’éveille, peint de songes et de mélancolie. Les ombres bleues dansent autour de ses yeux, comme si le temps s’était arrêté pour écouter ses pensées.
Le jaune éclaire sa peau d’une chaleur fragile, tandis que le rouge du front murmure la vie, la jeunesse suspendue entre doute et rêve. C’est un regard sans mots, un miroir où la solitude trouve des couleurs.
Haïku :
Sous ciel d’indigo,
le cœur d’un jeune se tait
l’âme peint la nuit.