Sous la lumière mate, le visage de Marianne se tient entre le feu et la cendre.
Le rouge derrière elle brûle sans flamme — sans doute le souvenir d’un amour perdu.
Ses yeux, graves et vastes, portent la fatigue d’un monde qui rugit trop fort.
Haïku :
Sous le mur rouge et blanc,
elle garde l’horizon clair
ni cri, ni pardon.