Les gratte-ciel s’embrasent sous les derniers feux du jour, miroirs d’un ciel agité où le bleu lutte encore contre la braise du couchant.
La ville, dense et fiévreuse, s’étire en un fleuve de lumières, ses artères brillantes se perdant dans l’ombre des façades. Tout semble vaciller entre la majesté des hauteurs et l’intimité des foules invisibles qui s’y pressent.
Haïku :
Dans le soir troublé,
les vitres gardent la flamme
fleuve de lumières.
Réf. CS2222 - Technique mixte, collage + huile - 30 x 25 - Depuis tout petit, j'ai une fascination pour New-York. Pourtant, je n'en connais que l'aéroport JFK pour y avoir fait escale...