La mer respire, vaste et libre, ses vagues écrivent des poèmes d’azur sur la peau blonde du rivage.
Au loin, les collines vertes s’inclinent, gardiennes silencieuses de l’horizon. Le vent, complice des nuages, caresse la lumière et la disperse en mille éclats mouvants.
Tout semble à la fois éternel et fragile — comme un souvenir que le cœur retient avant qu’il ne s’efface dans le bleu.
Haïku :
Mousse et vent mêlés,
le ciel glisse sur la mer
l’été s’endort lentement.
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