Ces jours-ci, je peins comme si j'étais chez un psychiatre et qu'il me demandait de dessiner un arbre. Je peins comme un cri venu de l'âme, en faisant abstraction de tout ce que j'ai appris, libéré des dogmes, des formulations, des affirmations considérées comme incontestables, intangibles, par les technocrates, les critiques et intellectuels de l'art, qui font la pluie et le beau temps dans le domaine de l'art et de bien d'autres choses.
Je ne prétends pas être le phénomène qui va révolutionner l'art, mais seulement quelqu'un qui essaye de se libérer des carcans, des limites à ne pas franchir, qu'ont lui à inculquer durant toute sa vie.






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