Une femme nue, couchée, baignée dans une palette de couleurs électriques, évoque un monde onirique où le corps devient lumière et mouvement.
Les formes ondulent et s’entrelacent dans un décor presque tribal, saturé de motifs géométriques rouges, bleus, verts et jaunes. Le trait est libre, pulsant, quasiment musical. Le corps allongé, serein malgré l'agitation des couleurs, semble flotter dans un espace mental plus que physique. On ressent l’influence du fauvisme et de l’expressionnisme, mêlée à une énergie contemporaine, psychédélique.
🍃 Haïku :
Corps en feu de nuit
le silence se colore
de rêves sans nom.
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