Les champs labourés s’étirent en larges bandes de terres humides, où l’aube dépose encore des reflets argentés.
Les maisons blanches, alignées comme des veilleurs, reposent sous le ciel changeant. À l’horizon, une lumière orangée déchire les nuées, embrasant les collines bleutées d’un souffle de renouveau. Tout respire le passage : la nuit s’efface, le jour surgit, et la campagne accueille le mouvement du temps.
Haïku
Sous les toits rouges,
les sillons boivent la flamme
l’aube se déploie.
D'après une de mes photos - réf. CS4622 - Huile sur toile 30 x 25 - réf. CS4622

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