Sous le doux halo de la lumière de la salle de concert, la violoncelliste, épaules nues, harmonie de grâce et de puissance, se fond dans l'éclat du piano noir.
Ses doigts caressent les cordes avec une tendresse infinie. Chaque mouvement révèle une passion insatiable, chaque note un souffle de vie. Son violoncelle, tel un confident, répond à son appel avec une émotion profonde, tissant un lien intime entre l'artiste et son instrument.
Sur la droite, dans l'ombre bienveillante, l'étui à violoncelle, semble prendre vie, écoutant
avec une attention silencieuse chaque nuance de musique qui émane de la scène.
(Krigou, mars 2024 – Hommage à Nicolas de Staël)
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