La peinture déploie une route blanche, serpentant comme un fil fragile entre deux immensités sombres.
Une cycliste solitaire avance, aspiré vers l’horizon où les nuages s’amoncellent, denses et lumineux. L’ensemble respire la lenteur, l’effort discret, la solitude habitée. On dirait un passage entre deux mondes ou une quête intérieure.
Haïku :
Route sans fin
le souffle des nuages
guide les pas lents.
Pas de commentaire encore