Des blocs, des formes, des éclats : la peinture semble une ville intérieure, une architecture d’émotions et de souvenirs.
Les traits noirs, comme des murs, délimitent des territoires de couleurs vives — rouge, bleu, jaune, vert, violet — qui respirent dans le gris des silences. C’est une mosaïque vivante, une partition urbaine où chaque case garde son secret.
Haïku :
Carrés de lumière
dans le labyrinthe clos
s’ouvrent des fenêtres.
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