La peinture s’élève comme un hymne à la verticalité, un souffle de grandeur pris dans l’éclat glacé de la montagne.
Le sommet, couronné de blancheur, fend le ciel d’un soir rose et bleu, où les nuages semblent se consumer dans le dernier feu du jour. C’est un poème de rocs et de lumière, une frontière entre la terre massive et l’infini éthéré.
Haïku :
Pic immobile
le vent peint les nuages
d’or et de silence.
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