Sous le ciel ambré du soir, le jardin s’ouvre comme une mosaïque vivante.
Les allées roses tracent des chemins d’enfance, bordés de plates-bandes éclatantes : rouges, jaunes, violets, autant de rires ensemencés. Les arbres, veilleurs paisibles, entourent ce carré clos d’une tendresse de feuillage, tandis qu’une barrière blanche garde ce trésor simple — un monde où la lumière se fait mémoire.
Haïku :
Parfums éclatés
je revois ton sourire
au seuil du jardin.
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