Un visage s’avance, grave et serein, porteur d’une mémoire ancienne. Ses yeux, sombres miroirs, semblent traverser le temps, comme si l’âme des Andes s’y reflétait.
Le tissu bleu, les motifs éclatants de rouge, d’or et d’ivoire dessinent un langage silencieux, fait de symboles et de rites. La femme se dresse, intemporelle, messagère des peuples disparus mais jamais oubliés — gardienne d’un héritage sculpté dans la lumière et la couleur.
Haïku
Sous le ciel ancien,
un regard porte la terre
souffle des Andes.
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