Cette œuvre explose de couleurs vives et vibrantes, évoquant un paysage tropical luxuriant. Deux grands palmiers aux feuillages denses dominent la scène, encadrés par un ciel tourbillonnant de bleu, de rose, de jaune et de violet.

Ce tableau aux couleurs éclatantes représente un champ en pleine floraison au lever du jour. Une multitude de coquelicots rouges et de fleurs sauvages couvre le sol comme un tapis vivant.

Cette peinture représente un village paisible à la campagne, vu depuis un champ labouré au premier plan.

Cette peinture évoque un champ de blé ondoyant sous un ciel orageux, avec en arrière-plan la chaîne du Jura.

La scène est marine et paisible. Un goéland plane gracieusement au-dessus de vagues d’un bleu profond, presque émeraude, aux reflets laiteux.

Joseph Inguimberty est né en 1896 à Marseille et décède en 1971 à Paris. Il fait partie de ces artistes européens attirés par l’Asie au début du XXe siècle.

Stuart Davis est né le 7 décembre 1892 à Philadelphie, aux États-Unis, et est décédé le 24 juin 1964 à New York. Il grandit dans un environnement artistique : son père était illustrateur pour un journal.

Christopher Richard Wynne Nevinson naît en 1889 à Londres, fils de l'activiste social Henry Nevinson et de l'éducatrice Margaret Nevinson. Il évolue dans un environnement intellectuel et progressiste, ce qui influencera sa sensibilité artistique et politique.

Cette peinture évoque la puissance brute et l’énergie chaotique d’une forêt enchevêtrée. Des troncs sombres, des branches tordues et un éclat de verts vibrants se mêlent dans un enchevêtrement presque abstrait.

Cette peinture évoque un paysage serein au coucher du soleil. Le ciel, vaste et mouvant, est envahi de nuages teintés de rose, d'orange et de crème, capturant la lumière dorée du crépuscule.

Cette peinture évoque une scène de montagne expressive et vibrante, dans un style qui rappelle le post-impressionnisme ou l’expressionnisme.

La vie rêvée de Virginia Fly est un court roman, mais dense, combinant observation psychologique, humour aigu, et ironie sociale. Angela Huth y esquisse, avec finesse, le portrait d’une femme en quête de passion et d’émancipation, dans une société encore conservatrice. Le roman reste une réflexion touchante et pleine d’esprit sur le désir, l’âge, la pression familiale et l’écart entre rêves et réel – une pépite certes sombre, parfois commençant à dater, mais qui n’en conserve pas moins une fraîcheur flagrante et un charme subtil, relevé par l’empathie chaleureuse pour son héroïne.

Maurice Sijs (également orthographié “Sys”), naît à Gand en 1880, fils d’un cordonnier. Dès 13 ans, il entre à l’Académie royale des beaux‑arts de Gand, où il se lie d’amitié avec les frères Gustave et Léon De Smet, figures majeures de l’art flamand.

Cette peinture présente un sous-bois foisonnant, presque saturé de troncs élancés et entremêlés, baignés de lumière. Les couleurs vibrent — jaune, vert, brun, bleu — donnant à l’ensemble une densité organique. Au premier plan, deux pierres arrondies reposent paisiblement, comme des gardiennes du silence. Deux troncs tombés en diagonale au premier plan suggèrent un abandon. C’est un lieu de silence, de mémoire, de lumière filtrée. Les arbres semblent figés dans un élan, ou dans une prière muette, comme s’ils écoutaient.

Cette œuvre foisonne de motifs floraux et fruitiers, en une sorte de composition textile ou décorative, presque comme un tapis ou une fresque stylisée.