Une mer de nuages roule sur les collines, lourde d’un souffle d’orage et de blé mûr.
La terre, vaste mosaïque d’ors et de verts, s’étire sous la lumière mouvante. Tout semble attendre — le vent, le silence, même la petite maison rousse blottie parmi les arbres. Ici, le temps se dilate, se suspend, comme si la campagne respirait lentement avant la pluie.
Haïku :
Sous le vent d’été
les champs plient, puis se redressent,
comme un seul soupir.

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